Cyberyweb — Newsletter de la semaine


Cyberyweb — L’IA bouge. Et nous aussi.

Des nouvelles simples, rapides et futuristes. Prêt·e à explorer ?

News#1

L’IA, nouvel outil des cybercriminels

IA malveillante et hackers

Depuis ChatGPT, des IA sans garde-fous arrivent. Des versions « pirates » comme WormGPT ou PoisonGPT aident à créer des attaques. Phishing, faux sites, ransomwares… tout va plus vite. Même des débutants peuvent s’y mettre.

Ces IA trouvent des failles, rédigent des emails piégés, et optimisent l’ingénierie sociale. Elles sont même vendues par abonnement sur des forums cachés. Cela rend le cybercrime plus simple et plus pro, alertent BFMTV.

Les IA « officielles » posent des limites. Mais les versions pirates n’en ont pas. Le risque augmente pour tous, résume L’Express. Demain, comment se protéger mieux ? Curieux d’en savoir plus ?

News#2

Emploi : la mention « IA éthique » progresse

IA éthique en entreprise

Depuis 2019, une idée grandit : « IA éthique » ou « IA responsable ». En 2025, environ 1% des offres IA en France demandent cette compétence. C’était 0,6% l’an passé, note Be a Boss.

Pourquoi ? Les lois européennes comme le RGPD et l’AI Act arrivent. Les entreprises veulent des profils qui contrôlent les modèles, évitent les biais, et assurent l’équité et la transparence. Elles cherchent aussi à limiter les risques sociaux et juridiques, confirme ITR Innovation.

La France progresse, mais reste sous la moyenne mondiale. Le but est clair : allier performance et responsabilité, selon Be a Boss. Et vous, mettriez-vous « IA éthique » sur votre CV ?

News#3

Former une IA ou recruter ? Les dirigeants tranchent

Dirigeants face au choix IA ou recrutement

En 2025, 52% des employeurs disent : « Former une IA, c’est plus simple et moins cher que recruter un jeune diplômé ». Dans la tech et la finance, cela monte jusqu’à 70%, indique Management Hebdo.

Les TPE-PME adoptent l’IA deux fois plus en un an. Le taux d’équipement atteint 26%. L’IA paraît rentable et rapide à déployer, ajoute Be a Boss.

Mais attention. Moins de lien humain ? Intégration plus dure pour les jeunes ? Et des décisions clés prises par des algos ? Le débat est ouvert, souligne Management Hebdo. Et vous, de quel côté êtes-vous ?

News#4

ChatGPT au travail… mais en cachette

Salariés utilisant ChatGPT discrètement

Beaucoup de salariés français utilisent ChatGPT et d’autres IA au boulot. Souvent en secret. Ils ont peur de la réaction des chefs. Les règles manquent. On parle de « Shadow IA », explique Be a Boss.

Officiellement, seules 10% des entreprises disent utiliser l’IA. En réalité, l’usage est bien plus large pour les emails, présentations, et idées. Les salariés trouvent ces outils utiles et créatifs, confirme HelloWork.

Ce décalage montre un retard d’organisation. Une charte claire aiderait tous. Bientôt, l’IA sera-t-elle assumée au grand jour ?

News#5

Emoticonnect : l’IA qui lit les émotions

Emoticonnect et analyse émotionnelle avec le CNRS

Emoticonnect, une startup française avec le CNRS, devient une référence. Son IA lit les émotions en temps réel. Elle capte les signaux faibles et les dynamiques de groupe, sur les réseaux sociaux ou les emails, décrit GPOmag.

L’outil donne un score émotionnel clair. Il cartographie l’ambiance autour d’une marque ou d’une équipe. Les usages ? Marketing, e-réputation, et bien-être au travail. La base scientifique : la roue des émotions de Plutchik, renforcée par l’IA, note Be a Boss.

Déjà primée, la solution s’étend en France et à l’international, selon GPOmag. Et demain, si votre IA sentait l’humeur d’un marché… avant tout le monde ?

Merci d’avoir lu Cyberyweb. À la semaine prochaine pour d’autres éclairs d’IA !